du 24 novembre au 21 décembre |
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MERCREDI 24 NOVEMBRE 2O1O
Nous partons de la maison vers 1OH, avec 2 jours de retard sur notre programme ; et c’est encore sur les chapeaux de roue que nous décollons. Pour chaque départ c’est pareil, il y a toujours des choses à gérer en dernières minutes ; cette fois Gégé s’attrape une bonne bronchite, alors rdv chez le médecin, ensuite il faut s’occuper de la voiture qui est malade aussi, et c’est fait raccourcir le train arrière, une loc de dernière minute, faire visiter, dresser le contrat, et encore quelques autres papiers administratifs …….Voilà je crois que l’on oublie rien. ça y est le téléphone est basculé chez FLO , la boutique à Gégé est fermée ; docteur PC peut faire chauffer le VADROUILLEUR . OUF !!!! AU REVOIR LES CAGOUILLES.
Petit détour par AUDENGE pour déposer des papiers dans la boite VALY. Nous avons un bon d’achat Carrefour qui va être périmé, alors passons par Mérignac, justement il nous faut une souris, rapidement nous faisons notre achat. Aller maintenant en route, nous sommes bons pour le départ, direction Rocade, ah zut ! on s’est planté……on est sorti trop tôt, ça commence bien.. …..ça y est, nous voilà bien en direction de BAYONNE. Allez roule Gégé ….Le soleil nous accompagne, nous allons cool derrières les files de camions. Enfin la pression retombe. A l’aire de LABOUEYRE, nous faisons la halte repas, nous entendons à la radio : GREVE GENERALE AU PORTUGAL, on ne sera pas dépaysé.
14H 3O, GPS POIDS LOURDS programmé, nous repartons, vers 16 H, nous arrivons aux PAYS BASQUE sous la pluie.
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Nous roulons : IRUN SAN SEBASTIEN puis VITORIA GASTEIZ. Une étape d’environ 400 kms (ce n’est pas dans nos habitudes) Nous avons bien roulé. Nous arrivons vers 19h00 sur l’aire de CC de VITORIA (tous services). Nous faisons une courte promenade pour se dégourdir, mais le froid nous fait vite regagner notre vadrouilleur. Comme d’hab, Gégé s’attelle à la parabole, puis cherche la Wifi. Pas de chance, tous les réseaux sont sécurisés.
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JEUDI 25 NOVEMBRE 2010 :
4° au réveil à 07h00.
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Allez Gégé chauffe le moteur, nous partons encore pour une longue étape….BURGOS – VALADOLID – SALAMENCA – PLASENCIA…..Nous passons la région de Miranda de Ebro dans un épais brouillard. Quelques kilomètres plus loin, nous découvrons sous le soleil des paysages de montagnes rocheuses magnifiques qui auraient méritées quelques photos. A MONASTERIO DE RODILLAS, nous passons devant le camping Picon Del Condé, c’est une de nos étapes habituelles pour notre descente au Maroc. Vers 11h00, nous arrivons à BURGOS par 3° sous le soleil. La traversée de la ville est facile par le boulevard. Très bon signalement. Nous contournons VALLADOLID vers 12h30, çà roule bien sur l’autovia CASTILLA gratuite. Halte pour le repas sur une aire de camions, le soleil chauffe, on est bien – 21°. Gégé tente la Wifi, toujours pareil, réseaux sécurisés. 14h00, nous reprenons la route en direction de SALAMENCA – environ 90 kms. Il nous reste 307 kms pour rejoindre la méditerranée à HUELVA (Espagne). |
Le GPS PL de « vevert » nous conduit sans surprise, par contre il ne connaît pas les POI personnels et nous devons utiliser notre Tomtom pour trouver les planques de nuit. Nous contournons SALAMENCA pour continuer sur PLASENCIA et CACERES. On file impeccable toujours sur l’autovia, puis Gégé qui est attentif au moindre bruit et qui connaît bien sa machine bifurque rapidement sur une sortie.
Ben !! C’est pas la route. Il dit « ploc ploc ploc.
A chaque voyage, c’est galère, c’est la première. Pneu arrière détérioré, trou dans la bande de roulement. Je sors le triangle qui n’a pas encore servi, le gilet tout neuf également, le cric hydraulique de pro, allez Gégé au boulot. Les voitures ralentissent, font un écart et passent leur chemin. Au Maroc, même en plein désert, le chamelier serait accouru à notre secours. On repart, on a évité le pire, vu l’état du pneu, on aurait pu éclater sur l’autovia. Nous continuons sur l’autovia RUTA DE LA PLATA, ou plutôt l’autovia des pneus crevés. Tiens un triangle, c’est un routier qui est en galère. La température chute, nous sommes à 1186 m, on voit la neige sur les sommets de la SIERRA DE CANDELARIO. D’après le GPS, nous serons à notre planque de nuit vers 19h00. C’est à 18h40 que nous arrivons à CACERES, calle de Vega dans le parc VALHANDO (tous services gratuits et même 220 volts)
Nous partons à la recherche du pain, nous
continuons quelques pas et sommes surpris par la beauté du centre historique.
Cette ville est classée au patrimoine mondial.
VENDREDI 26 NOVEMBRE 2010
Nuit calme, mais réveillé à 7h00 par l’employé municipal qui promène ses containers. Nous restons à CACERES où nous passons une journée complète de visite, et quelles visites !!!! dès le matin, nous contactons Mondial assistance, qui nous fournit quelques adresses et se propose d’appeler pour nous. En attendant, nous entreprenons le tour des garages susceptibles de nous vendre un pneu. On les a tous fait :
- Le premier fait juste le « turismo »
- Suivant, n’a pas de stock
- L’autre ne fait pas le modèle Camping car
- Le dernier à 16h00, très sympa, ouvre son garage pour nous (on l’a sorti de la sieste). Son allure joviale et son visage bien rouge est un indice qui ne nous trompe pas, surtout quand on aperçoit une bouteille plastique sur son bureau avec une drôle de couleur, plus proche du pinard que de l’huile d’olives, qui aurait pût provenir des bocaux empilés à ses pieds sous son bureau. Très serviable et souriant, il contacte ses fournisseurs, mais en vain.
En soirée, Mondial assistance nous rappelle pour nous donner les adresses que l’on vient de visiter et plus particulièrement le dernier. Ah non ! On ne recommence pas le circuit. Pour nous changer les idées, nous allons faire nos courses à Carrefour. Nouvel essai Wifi, toujours le même résultat ….sécurisés. Journée de grisaille…..journée nulle.
SAMEDI 27 NOVEMBRE 2010
Nuit calme, 9° au réveil.
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Après les services du CC, nous partons direction MERIDA. Nous prenons l’autovia A66 gratuite. La circulation est calme et le paysage monotone. Succession d’oliveraies et d’élevages. Nous arrivons direct sur le polygone industriel de MERIDA où se trouvent toutes les grandes enseignes et nous recommençons notre recherche. Michelin ….non, Euromaster …..non, quickstop ……non. Plus loin, en arrivant sur la ville, garage Juan Quintana …ok – travail vite fait nous sommes rassurés et repartons avec un pneu neuf, une roue de secours et allégés de 153€. Nous remettons le GPS en route pour l’aire de MERIDA que nous ne trouvons pas. Nous reprenons l’A66 et mangeons sur une aire de station services. Nous allons en direction de HUELVA (Espagne) par SEVILLE. Nous roulons sous la pluie, çà roule bien, peu de circulation pour un weekend. Nous contournons ces deux villes par l’autovia RUTA DE LA PLATA qui nous conduit à la frontière du Portugal. La pluie cesse et en accueil, le Portugal nous offre un spectacle féérique.
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Nous arrivons sur l’aire du village CASTRO MARIM et nous retrouvons là une alignée d’une douzaine de CC.
Il y a match ce soir, alors vite, installation de la parabole. Pas d’arbre, pas de fil débranché, Youpi çà marche, mais attention, nous avons un décalage horaire d’une heure. Nous partons en reconnaissance, mais nous rentrons très vite, le vent nous glace.
DIMANCHE 28 NOVEMBRE 2010
Nuit bruyante. 8° à 07h00. Le soleil arrive vite et la température monte à 18° à midi.
Notre voisin allemand est manouche ou bricoleur, devant son véhicule et dessous, il fait de la récup. C’est bien le genre d’activité que ferait Gégé si il était seul. Nous avons une matinée ensoleillée pour visiter ce mignon village.
Nous grimpons au Castello, il fait bon (18°),
Les bâtiments intérieurs |
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Les lieux d’aisance |
Le chemin de ronde duquel on a une vue sur un autre castello en restauration et que l’on ne peut pas visiter
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Mais l’après midi se gâte et nous avons quelques averses. Entre deux, nous faisons la promenade des salines.
LUNDI 29 NOVEMBRE 2010
Pluie toute la nuit – 12° au réveil
Nous avions programmé un parcours cycliste, d’après notre rencontre avec Napo (notre voyage en 2002). Il y aurait un circuit intéressant à faire, c’est de FOZ DE ODELEITE à ALCOUTIM le long du RIO GUADIANA. Mais vu le temps ….. Gégé s’aperçoit qu'il lui manque des programmes sur les ordis, et il ne peut pas travailler sur le site.
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Ah ! Zut avec un temps pareil, on aurait pu avancer. Donc, nous partons quand même sous la pluie pour effectuer ce circuit en CC. Nous partons de FOZ DE ODELEITE
Nous passons par les villages d’ALAMO, GUEIRRERO DO RIO avec tout du long une belle vue sur le fleuve, puis nous arrivons à ALCOUTIM. Dans ce village, il y a une aire de service gratuite toute neuve. |
Nous poursuivons et vers CORTES PEREIRAS, nous bifurquons pour suivre une pancarte un site de menhirs. Après 2,500 kms de piste, nous arrivons au but. Nous mangeons là à midi sous le regard surpris des moutons et sous la surveillance des deux menhirs dressés et bien protégés dans leur enclos.
Merci l’Europe (voir photo).
Pour ce prix là, Ils ont quand même bien fait les choses pour les touristes, ils ont laissé une petite fenêtre dans le grillage pour passer l’appareil photo.
Nous reprenons la route, et arrivons à MERTOLA et nous garons sur le parking en face des pompiers….ET nous avons bien fait de ne pas pénétrer en ville.
Nous allons faire une petite visite à pied à travers les ruelles du vieux village.
Passage obligé par le castello qui domine la ville avec ses grands escaliers de marbre, qui détonnent vraiment dans le paysage et le style du château.
Un papy portugais de 91 ans sort de chez lui, nous fait l’article sur son village, puis va chercher une revue où il y a un reportage avec une photo de sa maison.
Deux monuments à l’architecture arabesque nous intriguent.
En fait il s’agit d’une ancienne mosquée réhabilitée en église.
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Et un cinéma-théâtre |
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Ensuite nous passons à l’office de tourisme qui nous indique une planque pour la nuit, sur le quai du RIO. Il y a également un point d’eau mais rien pour les services. Nous avons une belle vue sur le fleuve d’où nous assistons au départ de pirogues malgré la pluie et l’heure tardive.
MARDI 30 NOVEMBRE 2010
Pluie toute la nuit – 7° à 07h00 – journée alternance pluie et soleil – 20°
Sur le plan de ville, sont indiqués trois points Wifi. Nous allons essayer celui proche de la mairie et miracle çà fonctionne, Gégé télécharge son logiciel manquant.
Un marché se tient tous les matins à la halle, nous y allons. Pour cause de rénovation, il n'y a que deux étals. Cela nous suffit pour nous ravitailler en fruits et légumes. Nous passons au petit supermercado où nous achetons du filet de bœuf à 9,80 le kg et de l'agneau à 5,80 le kg.
Cet après-midi, après avoir installé son FTP, nous retournons tester une autre connexion, celle de la bibliothèque. Pas de problème pour se connecter, mais la mise à jour du site est refusée….accès interdit. Essaie de liaison par tchat pour essayer de savoir pourquoi. Nous sommes 19éme sur la liste d'attente, alors nous patientons sur un banc humide. Arrivé 1er sur la liste, l'ordi se met en veille…..plus de batterie. On ressaiera demain. Nous ne savons pas si c'est dans toutes les villes du Portugal, mais maintenant, on va guetter les symboles Wifi.
23h00 – tic….tic….tic… c'est le piezzo du chauffage! Plus de gaz. Notre prochain objectif dans les jours à venir, sera de trouver du gaz. C'est pas gagné, les bouteilles ne sont pas les mêmes.
MERCREDI 1ER DECEMBRE 2010
Pluie la nuit – 11° le matin à 07h00 – averses en journée, mais 18°.
Gégé part au centre pour chercher le pain et essayer une nouvelle connexion. Je suis en pleine forme, le soleil brille, le vadrouilleur toutes baies ouvertes, j’entreprends le grand « ménache ».
Très vite, une grosse averse me coupe dans mon élan. Et Gégé qui n’a pas pris le parapluie ah !ah ! ah. Depuis le début de notre voyage, le temps est toujours incertain, il fait doux, on se croit au printemps de chez nous, avec les giboulées.
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Nous reprenons la route pour une nouvelle vadrouille indiquée par l’office de tourisme. C’est à PULO DO LOBO, ce sont des « chutes d’eau » sur le fleuve GUADIANA. En chemin, nous retrouvons un petit air de Hollande.
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Pour y accéder, nous devons traverser une propriété privée, ce qui nous permet de nous dégourdir les jambes sur 3km5 aller et retour.
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C’est un beau site. Parque Natural Do Vale Do Guadiana. La végétation y est abondante et très variée.
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Des « totems » |
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Des pins taillés en « boule » |
Des myrtilles, pas mûres malheureusement |
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Des olives sauvages |
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Des chênes verts avec leurs feuilles de houx |
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Des mimosas (plusieurs variétés)
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Des arbousiers |
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Le but de la ballade est à la hauteur de la promenade, le site est très beau.
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Nous partons à MOURA pour chercher une planque de nuit, nous nous installons sur le parking ‘Intermarché, de nuit nous ne trouvons rien de mieux.
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JEUDI 2 DECEMBRE 2010
9° à 07h00 – journée ensoleillée 20°
A O4h00, nous avons été réveillés par les camions de ravitaillement, puis plus tard, des bruits de moteurs ronflent à nos oreilles. Çà se passe juste au dessus de nous, nous sommes en contrebas d’un grand champ d’oliviers. Au premier abord, nous voyons une machine qui semble tailler les arbres, nous observons les manœuvres des ouvriers agricoles et constatons que ce n’est pas cela. C’est la cueillette moderne des olives. C’est un tracteur équipé d’une fourche télescopique qui prend le tronc et les grosses branches et secoue énergiquement. Les olives tombent sur la bâche étendue sur le sol. Pour les récalcitrantes, les ouvriers munis d’une espèce de débrousailleuse thermique font vibrer les branches.
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Nous partons en direction d’ALQUEVA,
le plus grand barrage d’Europe (où que l’on aille dans le monde, c’est
toujours le plus grand, le plus gros, le plus long, le plus ….. ou
classé au patrimoine.) A midi, nous sommes à ESTRELA, village au
bord du lac, nous mangeons, d’un côté vue sur le lac, de l’autre, vue
sur le cimetière (il ya un robinet d’eau à l’extérieur, on en profite
pour faire le plein). C’est calme, c’est bien, super pour une petite
sieste. Nouvelles d’Andernos : il neige. Pour vous montrer qu’ici il
fait beau…
Raté !!!!! déclencheur trooop court !
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recommençons |
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Pas parfait, mais promis on fera mieux la prochaine fois. |
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C’est bien le printemps |
Nous poursuivons sur le village de LUZ. Ce village est tout neuf, il a été reconstruit suite à la submersion de l’ancien au moment de la construction du barrage. Il est tout beau, tout neuf et ils ont même pensé à faire une aire de camping car. Seulement, il n’y a rien à y voir.
On y retrouve tous les ingrédients des petits villages typiques du sud
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les cheminées décoratives d’inspiration mauresque, presque aussi grosses que la maison, |
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Et des bouteilles d’eau disposées le long des murs et des portes |
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Celles-ci seraient destinées au pipi des chiens à ce que l’on a cru comprendre |
Quant à celles là, peut être une réserve, nous n’ avons pas éclairci l’énigme |
Pour la nuit, nous allons nous planquer au pied du château de MOURAO. Nous avons droit à un beau coucher de soleil.
VENDREDI 3 DECEMBRE 2010
Nuit, pluie et vent – 8°5 à 07h00
Que d’animation autour de nous ce matin, c’est l’heure de l’embauche, les ouvriers viennent installer les décos de Noël sur les remparts du château. Un troupeau de moutons passe le portail du château, eux aussi prennent leur tâche au sérieux, il faut que le terrain soit nickel. Notre vadrouilleur se réjouit, il est submergé d’un soleil éclatant ; nous apprécions également.
Allez en route pour la descente au village. Nous visitons un musée sur les traditions de l’ALENTEJO. Nous passons par la place centrale et une crèche est installée sur le kiosque, juste à côté de la borne wifi.
La particularité de ce village est les balcons en fer forgé et les maisons à étage.
Puis nous rejoignons le CC et décollons pour une nouvelle étape.
C’est à MONSARAZ, un village sur un pic rocheux. |
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Nous arrivons direct sur de nombreux parkings et un est prévu pour les caravanes.
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Ce village nous remet dans l’ambiance Maroc, c’est une visite à ne pas manquer. Là aussi, c’est la préparation de Noël, des santons géants sont dispersés dans les rues.
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Nous reprenons en direction de SERPA. Nous arrivons de nuit (à éviter). Le GPS nous indique une planque que nous rejoignons avec difficultés par des rues étroites. C’est un parking municipal (gratuit), très bien et au calme près des complexes sportifs à 1 km 5 du centre. Un Anglais est déjà installé.
SAMEDI 4 DECEMBRE 2010
7° à 08h00 – pas de soleil, çà caille
Gégé va tâter la température et là s’aperçoit que nous sommes en face du camping municipal (pas gratos lui : 12€ avec électricité). Ce matin, nous avons vu à la télé portugaise la neige sur la SERRA DA ESTRELLA. Le soleil n’est pas décidé à venir nous réchauffer, nous partons en visite bien couverts.
Encore un castello !!!!!
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Nous sommes gelés, nous allons nous réchauffer à l’espace internet indiqué par l’office de tourisme. Nous avons eu notre cacaille en vidéo. Dans la salle, une carte du Portugal est affichée où sont indiqués tous les espaces internet du pays. Nous constatons que pratiquement toutes les villes en sont pourvues et c’est gratuit ? Bon à savoir. C’est un service en plus des points Wifi sur les places devant les mairies et les bâtiments administratifs. Que d’évolution depuis notre dernier voyage.
15h00, le soleil ne se décide toujours pas, alors nous poussons 30 kms plus loin sur la ville de BEJA. Nous nous garons sur un parking indiqué par le GPS qui est très bien, seulement ce lieu devient très bruyants à cause de la concentration de motards qui est prévue sur l’esplanade pour tout le weekend. |
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Nous décampons et allons au camping municipal un peu plus loin. Nous en profitons pour recharger les ordis et tout notre matériel.
DIMANCHE 5 DECEMBRE 2010
14° à 07h00 – nuit très bruyante à cause des bikers fêtards. Il tombe des cordes.
Dès que çà cesse, nous partons en courses au «continente ». L’après-midi même temps, nous restons bien à l’abri dans notre vadrouilleur, et chacun à son poste, nous travaillons.
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prise avec le retardateur. En progrès ....... |
Gégé a eu la connexion Wifi directe dans le CC tout l’après-midi. C’est bien pratique, il ne nous manquait plus que çà pour se sentir comme chez nous. Nous restons une deuxième nuit au camping municipal de BEJA.
LUNDI 6 DECEMBRE 2010
Averse la nuit, mais « torride » 18°
D’attaque dès le matin, Gégé le pirate a du boulot à faire sur le net. Hier il a réussi à piquer la connexion Wifi chez un petit gars du coin. Ce matin, çà fonctionne encore. Sympa le p’tit gars, seulement il faut laisser la porte du vadrouilleur ouverte, sinon çà coupe. C’est super l’informatique quand çà marche. Hier Gégé était très stressé, notre e-machine lui a fait un gros caprice. Impossible d’enregistrer son travail de l’après-midi. Je ne vous dis pas le Gégé, très en colère, heureusement, il a plus d’un tour dans son sac. Justement son sac plein de logiciels pirates et celui là, il l’avait pour réparer. Ouf !! Dans ces cas là, Gigi planque toi, fais toi encore plus petite et l’orage passe au dessus.
Il fait bon, on va prendre l'air et visiter BEJA.
Allez bon, nous voilà encore à arpenter le centre historique, l’incontournable castello et les nombreuses marches à grimper. Cette fois j’en ai ras le bol, çà suffit, on a la dose, demain, je veux retrouver la mer.
Notre passage au marché à été fructueux, j’ai craqué pour une poterie.
Il n’y a pas que des poteries, il y a aussi de nombreuses boucheries. Certaines ont les quartiers de viande sur le trottoir, et les passants à 4 pattes profitent de ce libre service. Çà sent le Maroc, on n’en est plus très loin. |
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Les vitrines sont décorées par las enfants des écoles maternelles avec des matériaux de récup.
Nous rentrons au vadrouilleur et on apprécierait bien en réconfort un ti ‘punch, on a les citrons à portée de main, mais on n’a pas le rhum.
Puis l’après-midi sera encore studieuse, il faut avancer dans notre boulot. Nous allons rester une troisième nuit dans ce camping.